LE CONTEXTE GEOPOLITIQUE ACTUEL

 

1) La situation internationale : Un tournant historique

Le contexte mondial actuel est alarmant. L’Occident, qui compte parmi ses rangs trois membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU disposant du droit de véto (les États-Unis, le Royaume-Uni et la France), est directement impliqué dans deux conflits majeurs : la guerre en Ukraine et celle en Israël. Ces guerres, par leur ampleur et leur impact humanitaire, défient toute légitimité morale. Le véritable scandale des Jeux Olympiques 2024 à Paris..., c’est la guerre !, une guerre alimentée par des intérêts obscurs et des médias mainstream complices d’une propagande et d’une censure sans précédent.

Dans la bande de Gaza, certains experts estiment à 400 000 le nombre de morts palestiniens https://youtu.be/rwQ4LlRHnn0 , dont 98 % sont des civils. Peut-on parler d’autre chose qu’un génocide ? Ce terme, lourd de sens, reflète l’horreur d’une violence aveugle.

2) Les responsables de l’armement d’Israël

Qui fournit à Israël les moyens de perpétrer de telles atrocités ? Les États-Unis occupent une place centrale dans cet approvisionnement militaire, suivis par l’Allemagne. Cette dernière, bien que souvent perçue à travers le prisme de sa culpabilité historique, poursuit une politique de soutien à Israël qui dépasse ce cadre (cf. l’analyse de Yaz : « Pourquoi l’Allemagne soutient Israël ? » https://youtu.be/jY3qmLDsmuA ). Comment justifier une telle complicité avec un bilan aussi sanguinaire ? Ces actes trouvent leur origine dans une poignée de fanatiques néoconservateurs et de puissants lobbys sionistes au sein de l’État profond américain, capables de bloquer toute tentative de résolution pacifique en opposant leur véto au Conseil de sécurité de l’ONU.

Ces évènements génocidaires, dénoncés par des manifestations dans le monde entier...., et dénoncés par les États du "Reste du Monde", annoncent la fin de la suprématie de l'Occident et de l'OTAN.

3) L’heure des comptes

Julian Assange, dont les révélations continuent de résonner, a qualifié les journalistes complices de la propagande mainstream de "criminels de guerre". Ses analyses, accessibles sur des plateformes comme YouTube, restent d’une actualité brulante. Nous demanderons des comptes à ceux qui, en France comme en Europe, n’ont rien fait pour désamorcer les conflits ou dénoncer ce qui s’apparente à un génocide. Au contraire, nos dirigeants ont contribué à l’escalade en envoyant des avions de guerre et en sabordant les tentatives de médiation, et notamment dans le conflit ukrainien.

4) L'émergence d’un nouvel ordre mondial

Nous ne voulons plus de cet Occident hégémonique, moteur de guerres visant à préserver une domination dépassée. Un nouvel équilibre se dessine, notamment grâce au BRICS, qui ouvre la voie à une ère où les nations libres et souveraines siègeront sur un pied d’égalité aux instances internationales. Pour accélérer cette transition, un passage de tous les dangers, il est impératif de rompre avec l’emprise culturelle et économique anglo-saxonne.

• Langue : Adoptons une langue à l'international alternative, comme l’espagnol, la langue d’un empire déchu qui n'a plus d'ambition hégémonique depuis longtemps, dans le but de supplanter l’anglais, la langue d’un empire hégémonique en fin de course.

• Monnaie : Détournons-nous du dollar et de l’euro, outils de domination économique. Favorisons des taux de change directs entre banques centrales pour libérer nos échanges internationaux.

À l’instar de la légende arthurienne où Morgane perd ses pouvoirs lorsque le peuple cesse d’y croire, la puissance américaine s’évaporera si nous détournons nos regards. En cessant de financer leurs 800 bases militaires à travers le monde, les États-Unis perdront leur emprise. Libérés de l’anglobisme, les peuples penseront différemment et bâtiront un monde de nations souveraines, libres et égales devant le droit international.

5) Agissons ensemble pour cet éveil

Rejetons le dollar et l’euro, récupérons notre monnaie et notre souveraineté monétaire, et parlons une autre langue à l’international. Ces actions, aussi symboliques que pratiques, hâteront la chute de l’hégémonie anglo-saxonne au profit de tous les pays et même des États-Unis et de l'Angleterre ainsi libérés de leur hybris.

6) Pourquoi la langue espagnole est le meilleur choix. Un choix préférable à celui de la langue française, pour contrer l’hégémonie anglo-saxon

Le choix de sa propre langue pour parler à l’international nous entrainera au cours du temps immanquablement dans une forme d’autocentrisme (voir d’ethnocentrisme) qui nous sera évidemment préjudiciable pour porter l’image du combat contre toute forme d’hégémonisme. Car le fait d’imposer sa langue comme moyen de communication juridique international constitue l’une des causes de la posture hégémonique des anglo-saxons. C’est pourquoi la langue espagnole, une langue d’un empire déchu et d’une grande civilisation qui a renoncée depuis longtemps à dominer le monde, qui est la seconde langue parlée après la langue anglaise en dehors de l’Asie, cette langue espagnole est le meilleur choix pour rivaliser avec la langue anglaise et contrer son hégémonie.